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A.B.F
. : Architecte des Bâtiments de FranceA.D.M.R. : Aide à Domicile en Milieu Rural
A.L.S
. : Allocation de Logement SocialA.P.L
. : Aide Personnalisée au LogementA.T.S.E.M
. : Agent Territorial Spécialisé des Ecoles MaternellesB.O
. : Bulletin OfficielB.O.A.M.P
. : Bulletin Officiel des Annonces des Marchés PublicsB.O.M.E.N
. : Bulletin Officiel du Ministère de l'Education NationaleB.O.M.I
. : Bulletin Officiel du Ministère de l'IntérieurB.P
. : Budget PrévisionnelB.S
. : Budget SupplémentaireC.G.C.T
. : Code Général des Collectivités TerritorialesC.L.S
. : Contrat Local de SécuritéC.M.U. : Couverture Maladie Universelle
C.O.S
. : Coefficient d'Occupation des SolsC.P.E.R
. : Contrat du Plan Etat-RégionC.R.D.S
. : Contribution au Remboursement de la Dette SocialeC.S.G
. : Contribution Sociale GénéraliséeC.S.P
. : Code de la Santé PubliqueC.U.
: Certificat d'UrbanismeD.C.T..P
. : Dotation de Compensation de la Taxe ProfessionnelleD.D.R.
: Dotation de Développement RuralD.G.E
. : Dotation Globale d'EquipementD.G.F
. : Dotation Globale de FonctionnementD.I.A
. : Déclaration d'Intention d'AliénerD.P.U
. : Droit de Préemption UrbainD.S.P
. : Délégation de Service PublicD.S.U
. : Dotation de Solidarité UrbaineD.U.P
. : Déclaration d'Utilité PubliqueE.P.A
. : Etablissement Public AdministratifE.P.C.I
. : Etablissement Public de Coopération IntercommunalE.P.I.C
: Etablissement Public Industriel et CommunalE.R.P
. : Etablissement Recevant du PublicE.U.R.L
. : Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité LimitéeF.A.S
. : Fonds d'Action SocialeF.C.T.V.A
. : Fonds de Compensation pour la Taxe sur la Valeur AjoutéeF.P.T
. : Fonction Publique TerritorialeF.R.A.C
. : Fonds Régional d'Art ContemporainF.S.L
. : Fonds de Solidarité pour le LogementG.E.I.E
. : Groupement Européen d'Intérêt EconomiqueG.I.C
. : Grand Invalide CivilG.I.E
. : Groupement d'Intérêt Economique G.I.P. : Groupement d'Intérêt PublicH.T
. : Hors TaxeJ.O. : Journal Officiel
J.O.C.E
. : Journal Officiel des Communautés EuropéennesL.O.F
. : Loi d'Orientation FoncièreL.O.V
. : Loi d'Orientation pour la VilleM.A.R.N.U
. : Modalités d'Application du Règlement National d'Urbanisme (dit également " carte communale ") P.A.L.U.L.O.S. : Prime à l'Amélioration des Logements à Usage Locatif et d'Occupation SocialeP.A.T
. : Prime d'Aménagement du TerritoireP.L.D
. : Plafond Légal de DensitéP.L.H
. : Programme Local de l'HabitatP.L.I
. : Plan Local d'InsertionP.L.I.E
. : Plan Local d'Insertion par l'EconomieP.L.U
. : Plan Local d'UrbanismeP.O.S.
: Plan d'Occupation des SolsP.R.A.T
. : Prime Régionale d'Aménagement du TerritoireP.S.M.V
. : Plan de Sauvegarde et de Mise en ValeurR.D.A
. : Règlement Départemental d'Attribution des Logements Locatifs SociauxR.G
. : Renseignements GénérauxR.N.U
. : Règlement National d'UrbanismeR.S.D
. : Règlement Sanitaire DépartementalS.A.
: Société AnonymeS.A.C.D
. : Société des Auteurs et Compositeurs DramatiquesS.A.G.E
. : Schéma d'Aménagement et de Gestion des EauxS.A.R.L
. : Société A Responsabilité LimitéeS.C.O.T
. : Schéma de COhérence TerritorialeS.D.A.G.E
. : Schéma Départemental d'Aménagement et de Gestion des EauxS.E.M
. : Société d'Economie MixteS.E.M.L
. : Société d'Economie Mixte LocaleS.H.O.B
. : Surface Hors-OEuvre BruteS.H.O.N
. : Surface Hors -OEuvre NetteS.I.G
. : Système d'Information GéographiqueS.M.I.C
. : Salaire Minimum Interprofessionnel de CroissanceS.N.C
. : Société en Nom CollectifS.P.A
. : Service Public AdministratifS.P.I.C
. : Service Public Industriel et CommercialS.R.U
. : Solidarité et Renouvellements UrbainsT.D.E.N.S
. : Taxe Départementale des Espaces Naturels SensiblesT.F.B
. : Taxe sur le Foncier BâtiT.F.N.B
. : Taxe sur le Foncier Non BâtiT.I.C
. : Technologies de l'Information et de la CommunicationT.L.E
. : Taxe Locale d'EquipementT.H
. : Taxe d'HabitationT.P.
: Taxe ProfessionnelleT.T.C
. : Toutes Taxes ComprisesT.V.A
. : Taxe sur la Valeur AjoutéeZ.A
. : Zone d'ActivitésZ.A.C
. : Zone d'Aménagement ConcertéZ.A.D
. : Zone d'Aménagement DifféréZ.E.P
. : Zone d'Education PrioritaireZ.I
. : Zone IndustrielleZ.I.F
. : Zone d'Intervention FoncièreZ.N.I.E.F.F
. : Zone Naturelle d'Intérêt Ecologique Faunistique et FloristiqueZ.P.P.A.U.P
. : Zone de Protection du Patrimoine Architectural Urbain et PaysagerZ.U.S
. : Zone Urbaine Sensible
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La haute qualité environnementale des bâtiments est un concept apparu au début des années 90 et qui s'est depuis largement développé. Elle est aujourd'hui au centre d'un mouvement important qui concerne l'ensemble du monde du bâtiment.
Il ne s'agit pas d'une réglementation ni d'un label, mais d'une démarche volontaire de management de la qualité environnementale des opérations de construction ou de réhabilitation de bâtiment.La Démarche HQE®, s'appuie
- d'une part sur un système de management environnemental de l'opération, établi et conduit sous la responsabilité du maître d'ouvrage,
- d'autre part sur les exigences environnementales définies à l'origine du projet selon son contexte et les priorités du maître d'ouvrage.La bonne application de cette démarche pourra à terme faire l'objet d'une certification lorsque les développements en cours auront abouti (NF Tertiaire Démarche HQE® du CSTB pour le secteur tertiaire). De son côté, QUALITEL a élaboré une certification pour l'habitat collectif et individuel groupé, "Habitat & Environnement", qui préfigure une certification Démarche HQE®. Enfin, pour la maison individuelle en secteur diffus, un projet porté par les constructeurs titulaires de la marque NF-MI est en préparation avec CEQUAMI
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Définition dune eau potable :
Pour quune eau soit potable (propre à la consommation), elle doit répondre à des normes de qualité. Ces normes s'appuient sur des travaux médicaux établissant les "doses maximales admissibles" (quantités de substances qu'un individu peut absorber sans risque, tous les jours de sa vie, avec une marge de sécurité confortable).
Contrôle :
Cest le ministère de la santé, de la famille et des personnes handicapées, par l'intermédiaire des Directions Départementales des Affaires Sanitaires et Sociales qui assure le contrôle de la qualité des eaux d'alimentation.
Ce contrôle est indépendant de l'autosurveillance exercée par les distributeurs, quils soient privés ou publics.
La nature et la fréquence des analyses réalisées, sont fixées par arrêté préfectoral.Les normes :
Elles sont réparties en sept groupes :
1 paramètres organoleptiques : transparence, couleur, odeur, et saveur
2 paramètres physico-chimiques : pH, température, concentrations en minéraux, conductivité, - "substances indésirables" (nitrates, fluor...)
3 "substances toxiques" : plomb, chrome...
4 paramètres micro biologiques : bactéries nuisibles (coliformes les streptocoques fécaux, ...)
5 pesticides et produits apparentés,
6 paramètres concernant les eaux adoucies livrées à la consommation humaine.
7 Les paramètres relatifs aux substances indésirables : substances tolérées en très faible quantité pouvant avant une incidence sur la santé sans provoquer de désagréments à court termes.Les chiffres
Substances toxiques Paramètres Normes Européennes Arsenic (As) en µgr/L max 50 Cadmium (Cd 2+) en µgr/L max 5 Chrome soluble (Cr) en µgr/L max 50 Cyanures (Cn -) en mgr/L max 0.05 Mercure (Hg) en µgr/L max 1 Nickel (Ni) en µgr/L max 50 Phosphore (P) en mgr/L max 5 Plomb 5Pb) en µgr/L max 50
Substances indésirables Paramètres Normes Européennes Ammonium (NH4+) en mgr/L max 0.5 Argent (Ag +) en µgr/L max 10 Cuivre soluble (Cu) en mgr/L max 1 Fer soluble (Fe) en mgr/L max 0.2 Fluorures (F -) en mgr/L max 1.5 Manganèse (Mn) en mgr/L max 0.05 Nitrates (NO 3-) en mgr/L max 50 Nitrites (NO 2-) en mgr/L max 0.1 Oxydabilité (O2 au KMn04) en mgr/L max 5 Zinc (Zn 2+) en mgr/L max 5 Linformation :
Les résultats des analyses doivent être rendus publics par affichage dans les mairies et sont disponibles auprès du service des eaux de la commune.
Depuis 2001 pour toutes les communes, la DDASS rédige une synthèse, jointe à la facture d'eau, sur la qualité des eaux distribuées l'année précédente.Amélioration de la qualité de leau :
Les différents procédés :
Plusieurs procédés de traitement sont à votre disposition pour rendre leau de votre installation de meilleure qualité : la filtration, la purification par osmose inverse, la stérilisation ultra violet, lélectromagnétisation, ainsi que différents types dadoucisseurs,...
Aujourdhui un nouveau produit a été mis au point pour améliorer la qualité de leau ; les résultats sont surprenants.
Il sagit de créer un champ magnétique autour de la canalisation à l'aide dune aimantation sans apport énergétique réalisée grâce à une toute nouvelle génération daimants (terres rares : Lanthanides) extrêmement plus puissants que ceux utilisés jusquà aujourdhui pour le traitement de leau.Ce dernier procédé comporte de très nombreux avantages. Pour plus de détails, cliquez sur limage ci-dessous :
Conseils :
Avant même linstallation dun quelconque système pour améliorer la qualité de votre eau, quelques règles de bon sens sont à retenir :
-si votre installation comporte des canalisations en plomb, laissez couler quelques litres d'eau avant de la boire quand elle a stagné quelques heures dans les tuyaux. Mieux vaut dans ce cas, consommer de l'eau conditionnée en bouteilles.
-si vous navez pas utilisé votre robinet depuis plusieurs heures, laisser couler léquivalent dun verre deau avant de la boire pour permettre au robinet de se vidanger. Cela évitera dingérer des particules indésirables.
-si vous avez été absent depuis plusieurs jours, laisser couler une quantité deau, correspondant à celle contenue dans les tuyauteries comprises entre votre compteur et votre robinet.NOTA BENE :
Si votre installation comporte un adoucisseur soyez vigilant, certains types de ces appareils ne doivent concerner que le réseau d'eau chaude, si vous souhaitez continuer à consommer l'eau froide.
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Canalisations en plomb
Le plomb est un métal toxique qui, par le biais des canalisations en plomb d'eau potable, pénètre dans l'organisme par voie digestive. Ce qui peut avoir une incidence sur la santé pour une consommation d'eau régulière qui a stagné dans ces conduites en plomb.
Malheureusement, avant les années 1965, c'était le plomb qui était utilisé pour réaliser les canalisations d'eau potable.
De nos jours il reste des milliers de kilomètres de canalisations en plomb dans les immmeubles et habitations individuelles anciennes, colonnes montantes, colonnes descendantes, branchement compteur, etc.....
Normes sur le taux maximum de plomb dans l'eau potable
Actuellement la norme, établie par la directive européenne du 5 décembre 1998, est de 25 µg/l et passera à 10 µg/l fin 2013.
Ce qui veut dire que toutes canalisations en plomb concernant l'eau potable devront être remplacées avant la fin 2013.
Accessibilité au plomb
Vous possédez un bien immobilier construit avant 1948, vous voulez en tirer profit en le louant ou en le vendant, il vous faut faire établir un certificat de diagnostic d'accessibilité au plomb afin d'éviter toutes charges de responsabilités pénales et civiles dans les risques de saturnisme.
L'accessibilité au plomb concerne la tuyauterie mais aussi les peintures au plomb, ainsi que tous les produits contenant du plomb. La présence du plomb dans certains éléments est parfois insoupçonnée, afin d'éviter une situation embarrassante nous vous conseillons de faire établir un certificat par un cabinet d'expert.
Conseil :
Si votre installation comporte des canalisations en plomb laissez couler quelques litres d'eau avant de la boire si elle a stagné quelques heures dans les tuyaux, ou mieux, consommez de l'eau conditionnée en bouteilles.
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Quest-ce que lamiante ?
L'amiante (ou asbeste) est un matériau d'origine naturelle, il constitue une famille de minéraux fibreux et cristallins très répandue. Faiblement coûteux, il a été très utilisé dans l'industrie et le bâtiment en raison de ses propriétés chimiques, physiques et isolantes (grande résistance à la chaleur et au feu ; matériaux d'isolation, revêtements joints, tissus, mais aussi produits domestiques, bijoux...).
Il existe plusieurs variétés d'amiante dont les plus utilisées sont : le chrysotile, (amiante blanc), l'amosite (amiante brun), et la crocidolite (amiante bleu).Dangers et maladies liées à lamiante :
Linhalation de poussières d'amiante constitue l'un des premiers dangers de ce produit.
Cest par une pollution urbaine et industrielle que lorganisme humain est le plus souvent affecté.
Les fibres d'amiante lorsqu'elles ont été inhalées sont, de par leur dimension, leur forme et leur persistance, très difficiles à éliminer, entraînant l'apparition de pathologies graves, affectant le plus souvent la région pulmonaire :
-des fibroses : accumulation de fibres d'amiante provoquant des insuffisances respiratoires; dont le délai d'apparition est de 15 à 20 ans
-des cancers : fixés sur des cellules de l'appareil broncho-pulmonaire (cancers des bronches ou du poumon). Là, le délai d'apparition est généralement beaucoup plus long (55 ans en moyenne).Conséquences :
Aujourdhui l'amiante fait l'objet d'une législation très stricte pour le contrôler ou l'éliminer, allant souvent jusqu'à une interdiction totale mais incluant des exceptions réglementées par des textes officiels.
Les textes nationaux, européens et internationaux (pas toujours en accord) mettent dans lembarras les entreprises soucieuses de leurs graves responsabilités et les obligent à prendre des dispositions pour contrôler, puis éliminer l'amiante de leurs locaux.
Une situation complexe est créée par l'existence d'une réglementation française et d'une réglementation européenne. En outre, des textes généraux sur la protection des travailleurs ou sur les produits peuvent coexister avec des textes spécifiques de l'amiante. Le résultat est difficilement accessible pour l'usager, qu'il s'agisse d'un chef d'entreprise qui veut être en règle, d'une personne qui veut connaître la législation des maladies professionnelles liées à l'amiante, ou d'un propriétaire d'immeuble soucieux de satisfaire à ses obligations en matière de reconnaissance de la présence d'amiante.La législation :
Depuis le 1er janvier 1997 le décret no 96-1133 du 24 décembre 1996 pose le principe d'une interdiction générale de l'importation, de la fabrication, de la mise sur le marché de toutes variétés de fibres d'amiante incorporées ou non dans des matériaux ou autres produits, néanmoins ces interdictions ne font pas obstacle à l'accomplissement des obligations relatives à l'élimination des déchets.
Un autre arrêté du 17 mars 1998 fixe une liste de catégories d'exceptions à l'interdiction et indique la norme à laquelle doivent répondre les produits textiles à base d'amiante. Il remplace le premier arrêté d'interdiction du 24 décembre 1996.
Pour les entreprises la réglementation fixe les conditions dans lesquelles la protection des travailleurs contre les risques liés à l'inhalation de poussières d'amiante doit être organisée dans l'entreprise (décret n° 96-98 du 7 février 1996 relatif à la protection des travailleurs contre les risques liés à l'inhalation de poussière d'amiante).Obligations des propriétaires
Décret n°96-97 du 7 février 1996 modifié relatif à la protection de la population contre les risques sanitaires liés à une exposition à l'amiante dans les immeubles bâtis :
Il prévoit un renforcement des mesures de prévention contre lamiante dans les bâtiments. En effet, depuis plusieurs années, un programme dactions contre les risques sanitaires liés aux expositions à lamiante a été mis en uvre par les pouvoirs publics, en raison du caractère cancérogène de ses fibres. Une campagne de diagnostic et de travaux a déjà été engagée dans les principaux immeubles susceptibles de contenir ce matériau sous forme de calorifugeages, flocages ou faux plafonds. Cette première étape a permis de traiter en priorité les situations dexposition les plus importantes.Désamiantage :
Décret n° 96-98 du 7 février 1996.
Décret relatif à la protection des travailleurs contre les risques liés à l'inhalation de poussières d'amiante.Si vous pensez être concernés par le désamiantage, sachez quil existe deux types dentreprises à votre disposition :
-celles chargées de lévaluation : elles réaliseront un travail dexpertise et de mesure de la qualité de lair.
-celles chargées du désamiantage effectif.
Notez que cest en raison de procédures particulièrement complexes que les tarifs pratiqués sont très élevés : protection des intervenants, sas de sécurité, ventilation spécifique, contrôle des opérations, évacuation et élimination des déchetsEn cas damiante friable (faux plafonds déflocage décalorifugeage, ), lentreprise intervenant doit posséder la qualification Qualibat 1513.
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